Une des raisons pourquoi je cultive les bonsaï réside dans la proximité inédite avec les arbres que cela me procure. Je peux aisément observer à l’oeil nu des parties de la plante qui seraient dans la nature situées au sommet, à plusieurs mètres du sol.
Voici en photos les cônes femelles du pin mugo pris au vif. Leurs écailles mauves hérissées de fuchsia ressemblent étrangement à ceux des mélèzes, nous rappelant que tous deux sont de la famille des Pinacées. On peut également voir en couronne les nouvelles aiguilles qui émergent de leur gaine à la base des fascicules.
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Nos espèces indigènes réservent un spectable inédit à qui prend la peine de les observer de près.
Acer saccharum (érable à sucre)
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Les érables argentés (A. saccharinum) et rouges (A. rubrum) s’hybrident spontanément dans l’est de l’Amérique du Nord où ils coexistent. On appelle cet hybride Acer x freemanii. Ces arbres combinent les meilleurs attributs de leurs deux parents, soient les couleurs automnales incendiaires de l’un ainsi que l’écorce métallique et fissurée de l’autre.
Détail de l’écorce https://en.wikipedia.org/wiki/Acer_%C3%97_freemanii
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Nos espèces indigènes réservent un spectable inédit à qui prend la peine de les observer de près.
Acer saccharinum (érable argenté)
Les érables argentés sont une version brute et explosive des Ume. Ces colosses arborent des guirlandes flamboyantes sur leurs ramures encore dénuées de feuille.
Acer rubrum (érable rouge)
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