Érable japonais 1
Défoliation et taille d’un petit érable japonais. ...
Défoliation et taille d’un petit érable japonais. ...
“À l’automne, les hydrates de carbone dont le tissu chlorophyllien est gorgé, se transforment en anthocyane et colorent brillamment les feuilles de rouge pourpré. Nos bois deviennent alors incomparablement beaux. Les pentes sourceuses des Laurentides et les forêts de la plaine alluviale forment des horizons sanglants où sur le vert profond des résineux s’ajoutent, chevauchent et se fondent les gammes infinies des teintes que le rouge a sur sa palette.” - Frère Marie-Victorin (1885-1944) Flore laurentienne, p. 396, 397. ...
En 2022 je vais semer les espèces suivantes. Une fiche avec les étapes de préparation se trouve à la fin. ...
Voici quelques photos du printemps à l’automne 2021 d’une grosse souche de vigne vierge (Parthenocissus quinquefolia). La plante a été cueillie à l’automne 2020 sur un chantier de construction et je l’ai sauvée d’une mort imminente. ...
Cette petite aubépine illumine mes automnes d’un rouge écarlate. ...
Puisque l’exposition annuelle de la Société de Bonsaï et de Penjing de Montréal 2021 est annulée, voici l’arbre que je comptais exposer. Ce Thuya occidentalis évoque un arbre incliné au bord de la Rivière Rouge. Il est accompagné d’un kusamono boréal comportant une pruche de l’est, un érable rouge et un petit sapin. ...
À l’automne les feuilles portent les marques du temps écoulé. Déchirées, brûlées et mangées par les éléments leurs jours sont comptés. Les chloroplastes cessent la production de chlorophylle, laissant la place aux pigments jusqu’alors occultés. Les anthocyanoïdes colorent de rouge le pourtour des feuilles et les endurcissent contre le froid nocturne. Les glucides se concentrent et migrent de l’extérieur vers le coeur de la feuille via les nervures. Les xanthophylles teintent de jaune les bouleaux, mélèzes et ginkgos. Les caroténoïdes illuminent d’orange le hêtre. Dans les prochains jours l’arbre récupèrera les glucides et nitrates stockés dans ses feuilles pour remplir d’amidon les rayons de son aubier. La mort cellulaire gagnera jusqu’au coeur de la feuille. Le pétiole s’obstruera d’un bouchon de liège. Ce drame en quatre temps se soldera inéluctablement par l’abcision et la chute de la feuille. Une marque restera sur le rameau qui la portait, comme un rappel de son sacrifice pour la promesse d’un printemps. ...
Voici quelques photos de mon intallation sur un toit plat de garage en plein coeur de Montréal. J’espère que cela vous convaincra qu’on n’a pas besoin de grands espaces verts pour cultiver des bonsaïs. ombrière Je viens d’installer une ombrière de 50 % pour protéger mes arbres qui sont exposés au plein soleil du lever au coucher soleil. Je vais pouvoir y installer les espèces plus sensibles comme Tsuga canadensis, Fagus grandifolia, Acer palmatum et mes semis. ...
Voici quelques jeunes pruches (Tsuga canadensis) que j’ai cueillies en vue de créer une forêt dans quelques années. Je les ai prélevées dans un boisé privé avec l’accord du propriétaire. Ce boisé est très spécial car on y trouve des arbres matures ainsi qu’une multitude de bébé pruches. Une véritable pépinière à pruches! Arbre mature. Pouponnière de pruches. Un endroit féerique. ...
Je recommande ce livre à quiconque veut comprendre comment fonctionne un arbre. J’ai lu les 500 pages d’une couverture à l’autre même si plusieurs sont très chargées en explications scientifiques. Voici mes notes de lecture résumant ce que j’ai appris en lisant ce livre. le plus ancien angiosperme vivant Amborella trichopoda, petit buisson actuel des sous-bois des forêts humides de Nouvelle-Calédonie. Considéré comme la plus ancienne plante à fleurs vivant sur la planète, seul survivant de sa lignée et dernier témoin de l’émergence des plantes à fleurs il y a 140 millions d’années. Il serait plus ancien que les Magnolias. ...